Garden Party - CAP Construction

En guise de mise en bouche, Karim Selouane partage un aperçu de sa réflexion.  "Face au dérèglement climatique Il est essentiel de se pencher sur la manière dont nos bâtiments et nos infrastructures peuvent être adaptés pour faire face à l'avenir.

Nos conditions météorologiques deviennent de plus en plus volatiles. Les phénomènes météorologiques extrêmes résultant du changement climatique se sont intensifiés au cours de la dernière décennie, posant des défis importants à la résilience des villes et des territoires.

Nos environnements bâtis sont exposés à divers risques. Ceux-ci peuvent être divisés en deux catégories. Tout d'abord, les aléas chroniques, qui progressent lentement et couvrent les changements à long terme des aléas tels que les changements de température, de vent, de précipitations et d'érosion des sols.

Le deuxième élément comprend les risques aigus. Ils sont de nature extrême, se produisent rapidement et peuvent inclure des risques tels que les vagues de chaleur, les tempêtes et les blizzards, les sécheresses, les inondations et les affaissements de terrain.

Ces risques souvent combinés peuvent endommager nos bâtiments et nos infrastructures et, dans le pire des cas, les rendre inhabitables. L'adaptation des environnements bâtis  permet et doit permettre nos villes d'être moins affectées par ces risques, ce qui les rend plus sûres, plus attractives pour ceux qui y vivent et y travaillent.

Les risques climatiques spécifiques auxquels les acteurs de la construction doivent faire face dépendent du site, du contexte géographique, des échelles considérées, des politiques d aménagement du territoire et leurs interconnexions et des gouvernances territoriales. 

C'est l ensemble de ces dimensions que l ensemble des parties prenantes doivent considérer et appréhender avant de procéder à des adaptations."